İbrahim Ali: Moi, je voudrais que personne ne connaisse ni la vivante ni la morte. Qu’elles soient toutes les deux comme des chardons, qu’on ne remarque même pas mais qui piquent le moment venu.

Moi, je voudrais que personne ne connaisse ni la vivante ni la morte. Qu’elles soient toutes les deux comme des chardons, qu’on ne remarque même pas mais qui piquent le moment venu.